Vision

Notre vision est de bâtir un cadre de référence en Afrique pour catalyser la coopération, le dialogue inclusif, la gouvernance et le développement de solutions innovantes sur l’Eau.

Mission

La mission du PED est de promouvoir le développement concerté de compétences et de pratiques au niveau local, régional pour impulser une gestion intégrée des ressources en eau qui s’appuie sur le renforcement de l’hydro diplomatie et de la paix.

Une des missions prioritaires du Pôle est de contribuer à l’amélioration de la communication entres acteurs de l’eau et de la paix ; et à la diffusion de bonnes pratiques et outils. Considérant les plateformes et initiatives existants et constituant un terreau d’informations en matière de connaissances, le PED facilitera l’accès et la diffusion d’informations relevant sur la coopération et la diplomatie de l’eau.

Le Pôle se veut aussi porter un plaidoyer pour la sécurité de l’accès à l’eau (sécurité des infrastructures, diversification des sources). Le PED se propose de contribuer à la promotion et la valorisation des efforts de coopération et d’hydro-diplomatie en Afrique de l’Ouest. Il servira de moyen de vulgarisation de connaissances, d’outils et de méthodes pertinents pour renforcer la coopération
transfrontière sur l’eau.

Renforcement de la coopération et la paix autour de l’eau

L’engagement du PED vise à répondre à des défis pertinents au niveau de la sous région et au niveau mondial en assurant un ancrage en Afrique de l’Ouest de l’Observatoire Mondial pour l’eau et la Paix. Ce mécanisme international de diplomatie de l’eau est issu des recommandations du Panel Mondial de haut niveau sur l’eau et la Paix, dont le Sénégal a endossé la vice-présidence. Il se déploie sous la forme d’un réseau d’organisations réunissant d’une part l’expertise pour développer les analyses en hydro-diplomatie, d’autre part pour la réputation et les qualités diplomatiques nécessaires à réunir des parties prenantes pour traiter de question sensibles de politiques de l’eau. Le Pôle Eau Dakar se veut être un cadre d’échange et dialogue multi-acteurs pour une bonne gouvernance transfrontalière. pour promouvoir et valoriser les efforts de coopération et d’hydro-diplomatie en Afrique de l’Ouest.

Promotion des initiatives de gestion concertée des ressources en eau et de gestion des connaissances et de la recherche

Le Pôle Eau Dakar vise à assurer un appui aux problématiques sénégalaises et de la sous-région relatives à l’eau et la paix. Par son engagement directe sur les volets de développement des connaissances de renforcement de capacités et d’innovations, le Pôle Eau Dakar vise à contribuer de manière significative à l’amélioration de la gouvernance de l’eau du Sénégal et au sein des bassins transfrontaliers partagés avec ses Etats riverains. Aussi, il s’agira de catalyser dans la région les bonnes pratiques réalisées à l’international. Sur la base du réseau de compétences que constitue les organisations partenaires, le pôle constituerai une plateforme de créations d’opportunités de collaboration entre acteurs afin de produire et/ou de partager des connaissances à travers des formations ou programmes de recherche. Dans sa logique de réseautage, le P.E.D. est constitués d’organisations académiques et de non-académiques des universités et autres organisations sénégalaises et de la sous région. La consolidation de ce laboratoire d'idées (Think tank) se fera à travers la collaboration de l’expertise sous-rrégionale et internationale.

Servir de plateforme de veille et de « think tank

À travers la création de “Safe Space” pour le dialogue inclusif entre acteurs régionaux et internationaux, le PED servira de plateforme de veille pour la gestion et la prévention des conflits. Il constituera ainsi  à la consolidation de la paix et la sécurité autour de la ressource en eau. En mettant l’accents sur le renforcement de l’hydro-diplomatie, le PED se lance alors dans une dynamique de prévention et de résolution des conflits liés à l’eau qui s’applique tant à des contextes interétatiques qu’à des enjeux intersectoriels ou à des problématiques de conflits d’usages locaux. Ces derniers peuvent s’inscrire dans un contexte de ressources d’eau partagées entre des Etats distincts ou au sein d’un seul Etat.